Faire don de ses archives familiales à une société d’histoire

En effectuant le tri des biens ayant appartenu à un être cher, il est fort probable que vous trouviez de vieilles photos en noir et blanc, des certificats de naissance jaunis, des faire-part ou des diplômes émis au début du siècle. Certaines boîtes de souvenirs recèlent des richesses inestimables, mais vous craignez que votre placard ne soit pas l’endroit idéal pour entreposer ces trésors, vestiges d’une autre époque.

Pour remédier à cette situation, saviez-vous que les sociétés d’histoire et de généalogie du Québec peuvent traiter et entreposer vos archives privées, et ce, tout à fait gratuitement? Le dépôt d’archives s’avère idéal pour conserver à long terme ces précieux documents familiaux qui témoignent de la vie familiale, professionnelle et amoureuse des membres de notre famille. Le service des archives des sociétés d’histoire comporte des installations sécurisées qui réduisent les effets du temps et limitent les pertes de documents.

Définition d’une archive

Lié à une personne ou à un organisme, le document d’archives atteste de ce que cette personne ou cet organisme a fait au cours de son existence. Il peut s’agir de photos, de négatifs, de diapositives, de cartes postales, de cassettes audio, de VHS, de CD ou de DVD, de lettres, d’actes notariés (comme un contrat de vente ou un testament), de dessins, de plans, de manuscrits, etc.

Ces documents sont essentiels pour comprendre l’histoire d’une région, mieux saisir l’apport de ses citoyens à son évolution et définir le mode de vie d’une époque. Dans cette optique, les sociétés d’archives font l’acquisition de documents dans le but de sauvegarder le patrimoine de leur territoire, de soutenir la recherche en histoire et de faciliter l’accès et la diffusion du patrimoine. Les archives peuvent ainsi être consultées par le public, habituellement moyennant certains frais.

Faire don de vos archives

Vous aimeriez faire don de vos archives familiales à une société d’histoire et de généalogie? On en trouve dans toutes les régions. Le site de la Fédération québécoise des sociétés de généalogie répertorie la plupart de ces organismes de la province et propose un outil de recherche pour trouver celle qui se trouve le plus près de chez vous ou de la personne à qui appartenaient ces archives.

Les sociétés acceptent en général tous les dons admissibles et détermineront avec vous les conditions de consultation dans une « convention de donation ». L’entreposage se fera selon un classement rigoureux, dans une salle qui mettra les documents à l’abri des incendies et des dégâts d’eau.

Conseils pour conserver vos archives

Si vous souhaitez conserver vos archives personnelles à la maison, voici quelques conseils pour protéger leur intégrité pour de nombreuses années.

  • Dépliez soigneusement les documents et rangez-les dans un classeur ou une boîte de carton. Si vous avez des documents de grandes dimensions, roulez-les.
  • Évitez d’utiliser des trombones et des agrafes pour regrouper des documents.
  • Pour identifier l’endos d’un document avec la date, le lieu et l’occasion, privilégiez le crayon de plomb.
  • Classez vos documents par genre, puis chronologiquement, et dressez une liste des documents que vous avez, en la mettant à jour régulièrement.
  • Rangez vos documents dans un endroit sec, à l’abri de la lumière, de la poussière et des rongeurs.
  • Numérisez vos photos et documents pour faciliter leur conservation et leur diffusion à vos proches. Certaines sociétés d’archives mettent des numériseurs ou un service de numérisation à la disposition du public.

Peu importe la manière dont vous choisirez de conserver vos archives personnelles, l’important est de respecter vos souhaits ainsi que ceux de la personne défunte, s’il y a lieu. Pour vous assurer qu’on archivera vos documents privés comme vous le désirez, vous pouvez également inclure une clause dans votre testament.

 

Sources :
https://shghl.ca/trucs-de-conservation/
https://histoiregenealogie.ca/centre-archives/
https://shgmi.ca/centre-darchives/
https://www.federationgenealogie.com/fr/

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Les grands acteurs pour la paix

Le mot paix revêt plusieurs significations. Selon le dictionnaire Larousse, il peut entre autres désigner « l’état de pays, de nations qui ne sont pas en guerre », la « cessation de l’état de guerre », « l’état de tranquillité, de repos, de calme intérieur chez quelqu’un » ou « l’absence d’agitation ou de bruit dans un lieu ».

Peu importe le sens qu’on lui donne, la préservation de la paix permet d’assurer un bon fonctionnement au sein d’une collectivité, d’ouvrir la voie à la prospérité et d’apporter de l’espoir aux gens.

Prix Nobel de la paix

Il n’est donc pas étonnant que de nombreuses personnes de toutes les époques aient lutté pour la paix dans le monde et en ont fait leur mission de vie. Pour honorer leur apport à l’humanité, le prix Nobel de la paix a été créé en 1901 et a été attribué presque chaque année, sauf en 1917, 1944 et 1945, alors que sévissaient les guerres mondiales, et lorsqu’aucun candidat ou aucune candidate ne faisait l’unanimité.

Martin Luther King Jr. est sûrement l’un des récipiendaires les plus connus de ce prix, qui lui a été décerné en 1964 pour avoir milité sans violence en faveur des droits civiques, en particulier en ce qui concerne la ségrégation raciale.

Autre personnalité notoire, Mère Teresa a reçu le prix Nobel de la paix en 1979 pour ses actions caritatives auprès des démunis et pour l’éducation des enfants des rues à Calcutta, en Inde. Nelson Mandela a quant à lui reçu ce prix en 1993 pour ses travaux visant à mettre fin au régime de l’apartheid ainsi que l’établissement des fondations d’une démocratie en Afrique du Sud.

Plus récemment, en 2009, l’ancien président Barack Obama recevait cet honneur afin de souligner ses efforts dans le renforcement de la diplomatie internationale, tandis que Malala Yousafzai est récompensée pour sa lutte contre la répression des enfants et leur droit à l’éducation.

La symbolique de la paix

L’un des signes de la paix les plus connus est sans doute le cercle comprenant une barre horizontale et un genre de v renversé. Il est initialement créé en 1958 par les opposants à l’armement nucléaire, les deux branches correspondant à la lettre n dans le code sémaphore britannique et la barre centrale à un d, pour « nuclear disarmament ». Le symbole a vite été adopté par la communauté internationale pour incarner la paix, notamment par le mouvement « peace and love ».

Le drapeau blanc, qui est notamment repris dans les bandes dessinées mettant en vedette des pirates, est utilisé comme symbole de la paix ou de demande de pourparlers depuis de nombreuses années. Son utilisation est confirmée en 1899 par l’annexe à la Convention de La Haye traitant des lois et coutumes de la guerre, mais on en atteste l’usage dès 1625 dans Le Droit de la guerre et de la paix, de Grotius.

La colombe tenant un rameau d’olivier dans son bec incarne aussi la paix, et ce, depuis aussi loin que l’Antiquité, puisqu’on retrouve cette symbolique dans la mythologie grecque et la Bible. On retrouve d’ailleurs souvent une colombe ou un rameau d’olivier sur les urnes et les monuments funéraires pour indiquer que l’on souhaite à la personne défunte de reposer en paix.

Comme on peut le constater, la paix revêt une grande importance dans notre vie et notre bien-être. Jamais acquise, il convient de la chérir comme un cadeau précieux.

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Santé : les effets des vagues de chaleur sur le corps humain

La saison estivale québécoise apporte son lot de grandes chaleurs et de canicules. Plus les années avancent, plus nos étés sont chauds et humides, causant souvent des problèmes à la population. Les effets de la chaleur touchent tout le monde, mais plus particulièrement les ainés, les nourrissons et les enfants, les personnes prenant des médicaments, vulnérables, ou celles qui travaillent ou font de l’exercice à l’extérieur pendant les vagues de chaleur. Découvrez les effets qu’a la chaleur sur votre corps et comment vous protéger.

Le corps humain

Nous caractérisons « vague de chaleur » lorsque la température et le taux d’humidité dépassent la normale saisonnière pendant plusieurs jours. La température normale du corps se situant à 37° C ou 98,6° F, donc les journées où il fait plus de 25° C notre corps surchauffe. Cependant, soyez rassuré, le corps humain étant bien fait, notre mécanisme corporel de lutte contre la chaleur s’enclenche soit : l’augmentation du débit sanguin et la transpiration. Cette dernière permet à la chaleur de s’évacuer par la vapeur et l’eau expulsée du corps.

Toutefois, une trop grande chaleur affectera la capacité du corps à régler sa température, ce qui peut occasionner certains problèmes mineurs ou majeurs : déshydratation, épuisement, insolation, coup de chaleur, maladies graves ou même décès.

Coup de chaleur

Voici les symptômes à observer si vous suspectez une insolation ou un coup de chaleur. Le coup de chaleur, plus grave, nécessite une assistance médicale. Quand les symptômes sont moindres, on parle d’une insolation. Dans le cas d’un ou plusieurs symptômes moindres, mettez-vous à l’abri dans un lieu frais et ventilé, hydratez-vous bien et reposez-vous. Vous pouvez même vous asperger d’eau pour vous rafraichir.

  • Maux de tête
  • Vertiges
  • Sensation de chaleurs intense
  • Coup de soleil (peau qui devient rouge)
  • Démarche titubante
  • Soif intense
  • Fatigue
  • Nausées ou vomissement
  • Dégradation des capacités intellectuelles et physiques
  • Fièvre supérieure à 40° C
  • Pouls et respiration accélérés
  • Chute de pression
  • Coma

La déshydratation

Saviez-vous qu’avec l’âge le corps transpire de moins en moins ? C’est pourquoi les personnes âgées sont plus exposées au fait d’être déshydratées, car elles ressentent moins la sensation de soif. Les nourrissons sont aussi exposés à ce danger, faute de pouvoir l’exprimer. De plus, prendre certains médicaments peut aussi augmenter les pertes en eau ou aggraver la déshydratation. Dans le même ordre d’idées, une perte excessive en sels minéraux peut causer un épuisement.

Il faut alors compenser les pertes d’eau et de sels minéraux avec des solutions de réhydratation « maison » ou disponibles en pharmacie. Si vos urines sont foncées ou que vous n’avez pas uriné depuis plusieurs heures, c’est aussi signe que vous manquez d’eau.

Comment vous protéger des effets indésirables de la chaleur ou de la déshydratation ?

  1. Buvez de l’eau régulièrement
  2. Évitez les boissons sucrées, le café et l’alcool
  3. Nourrissez-vous adéquatement et en quantité suffisante
  4. Portez un chapeau ou une casquette
  5. Mouillez votre corps plusieurs fois par jour (piscine, plan d’eau, douche, etc.)
  6. Maintenez une température fraîche dans votre demeure et priorisez une ventilation.
  7. Prévoyez vos sorties et déplacements pour éviter les heures les plus chaudes de la journée (autour de midi et en début d’après-midi).
  8. Si vous n’avez pas accès à l’air climatisé, profitez-en pour faire vos courses, vos achats ou aller au cinéma ou à la bibliothèque de votre quartier. Bref, visitez des endroits qui ont l’air climatisé.
  9. Évitez les grands efforts physiques aux heures les plus chaudes de la journée.
  10. Mouillez vos vêtements ou votre couvre-chef pour plus de fraicheur.

Si vous croyez souffrir de la chaleur et constater des symptômes inquiétants, contactez Info-Santé en composant le 811 ou référez-vous à votre pharmacien ou votre médecin.

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La famille : définition et valeurs

Petite ou grande, composée, décomposée ou recomposée, la famille est beaucoup plus qu’un ensemble d’individus vivants sous le même toit. Nous pouvons la qualifier de système social naturel avec son ensemble de règles, de caractéristiques, ses propres propriétés et un rôle prescript pour chacun de ses membres. Les membres d’une même famille se soutiennent et se supportent dans les bons comme dans les moins bons moments, ce pour quoi il est important de prendre soin les uns des autres, quelle que soit l’étape de vie de chacun.

Traditionnellement, nous appelons famille les personnes apparentées vivant sous le même toi et plus spécialement : le père, la mère et les enfants. Certaines familles sont stimulantes, chaleureuses et unies, tandis que d’autres sont plus froides et ennuyantes, il n’en dépend que de ces membres et du climat instauré et priorisé. Le terme famille est plutôt utilisé lorsqu’il est question de lien de sang ou d’une union par le mariage, mais depuis plusieurs années déjà, il est aussi utilisé pour décrire un regroupement d’individus ayant un lien d’appartenance fort aux autres membres d’un groupe. Compréhension, communications, confiance et amour font partie intégrante de l’éducation faite par la famille.

« Les amis, c’est une famille dont on a choisi les membres. » – Alphonse Karr

Les 5 valeurs humaines de la famille

Dans le but de faciliter les relations et de faire respecter la hiérarchie ou le rôle de chacun au sein du foyer ou du groupe, cinq valeurs fondamentales font partie de l’éducation des jeunes et moins jeunes, permettant une bonne cohésion.

  1. L’amour : se traduit par des gestes affectueux entre les membres de la famille, une chaleur partagée et une bonne communication.
  2. L’obéissance : représente le fait d’établir des directives et d’imposer des limites. L’obéissance est avant tout un respect pour l’autorité du foyer et des règles. Il est plus facile de développer de bonnes habitudes en montrant l’exemple.
  3. La tolérance : c’est accepter qui nous sommes et ce que les autres sont, comprendre l’autre avec ses forces et ses faiblesses. Cette valeur est très importante au sein d’individus qui cohabitent ensemble.
  4. Le respect : s’applique par le fait d’éviter de nuire aux autres. Il se met en pratique avec la tolérance puisque nous avons tous une limite qui ne doit pas être transgressée par les autres. Le respect est souvent expliqué par le vieil adage : on ne fait pas aux autres ce que l’on n’aimerait pas que les autres nous fassent!
  5. La responsabilité : ce qui veut dire d’être responsable envers le reste de la famille, s’occuper d’autrui et appliquer le concept de donner sans nécessairement attendre quelque chose en retour.

Bien sûr, ces 5 valeurs fondamentales ne sont pas les seules. L’honnêteté, l’empathie, le pardon, l’autonomie et l’appartenance sont toutes des valeurs qu’il est important d’inculquer à la famille et surtout aux jeunes enfants. Faire partie d’un groupe ou d’un tout plus grand que soi apporte du positif et un bien-être émotionnel tout comme les humains ont toujours plus tendance à se lier aux autres individus qui partagent leur valeur et leur vision. L’humain est un être social et la famille, biologique ou non est son clan, toujours prêt à s’épauler mutuellement, peu importe la situation.

Bref, lorsqu’il est question du décès d’un membre de la famille, ce sont les survivants qui doivent s’occuper des arrangements et vivre le deuil ensemble. C’est souvent à ce moment-là que la famille se soude où se déchire. Chez Crématorium Montréal, nous avons l’habitude d’accompagner les familles, même les plus complexes, dans leur démarche funéraire. Nous sommes là pour vous aider, contactez-nous!

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Les 8 signes à observer lorsque la mort guette un être cher

Personne n’est réellement préparé au décès d’un être cher, même lorsqu’il est malade. Désillusion ou espoir? Le cerveau humain à de la difficulté à se faire à ce genre de situation et le processus est à recommencer à chaque fois. Or il est important de connaitre les signes annonciateurs du décès pour se préparer, mentalement et physiquement au départ de quelqu’un. Crématorium Montréal fait la lumière sur les signes à surveiller lorsque d’un membre de notre entourage est malade ou en fin de vie.

La pente descendante

À l’approche de la mort, les fonctions corporelles et cognitives commencent à ralentir et parfois à se brouiller. Il est possible d’observer plusieurs changements tels que : la dégradation de la condition physique, des changements psychologiques, une perte d’appétit et d’hydratation, une diminution du poids ou de la masse et un changement dans la respiration pour ne nommer que ceux-là.

Les trois phases

Il est possible de segmenter les derniers mois de vie en 3 phases distinctes :

  • La phase préterminale – généralement 1 à 3 mois avant le décès.
  • La phase terminale – généralement 1 à 3 semaines avant le décès
  • L’agonie – quelques jours ou quelques heures avant la mort.

Parfois, l’une des phases peut se dérouler très rapidement ou carrément être omise pour passer à la suivante. Chaque personne est différente et le processus peut l’être aussi,  en fonction de la maladie et de sa force.

Les 8 signes à observer pour se préparer doucement

Le retrait : la personne peut être plus distante ou indifférente à tout ce qui l’entoure. Elle a moins envie de sociabiliser avec les autres, perd de l’intérêt pour ses activités favorites et peut parfois devenir agitée ou irritable.

La somnolence : à l’approche de la mort, la personne peut être plus somnolente ou dormir davantage, tout comme elle peut être plus difficile à réveiller. Il peut même arriver qu’elle s’endorme en parlant ou qu’elle démontre des signes de faiblesse généralisés.

Réduction de la consommation de nourriture et boisson : lorsque le corps ralentit, le besoin en liquides et aliments diminue, ce qui fait que la personne a moins faim ou soif. Elle peut aussi avoir de la difficulté à avaler, il ne faut donc pas la forcer à se nourrir et à boire comme avant.

Changements de la respiration : celle-ci peut diminuer ou s’accélérer et être peu profonde. Il se peut aussi que la personne cesse momentanément de respirer pendant plusieurs secondes. Une respiration irrégulière est un signe à ne pas négliger.

Perte du contrôle de la vessie ou de l’intestin : la faiblesse généralisée provoque parfois un relâchement des muscles du bassin, ce qui occasionne l’incontinence.

Changements de la peau : lorsque la mort approche, la peau peut sembler plus pâle, marbrée ou bleuâtre, plus mince et plus sèche, signe de fragilité. Des rougeurs peuvent aussi apparaitre aux articulations et la peau peut sembler plus froide au toucher.

Délire : la personne peut ne pas reconnaitre ses proches, être confuse sur le jour, la date ou même l’heure qu’il est. Elle peut aussi être victime d’hallucinations, ce qui crée parfois de l’agitation ou de l’anxiété.

Amélioration temporaire : dernier signe qui crée de faux espoirs, il arrive souvent que l’état de la personne s’améliore brièvement avant la mort. Aussi appelé « moment de lucidité », celui-ci lui permet d’interagir avec ses proches et d’être plus alerte à ce qui l’entoure avant que son état se dégrade à nouveau. C’est souvent le moment des aurevoirs.

Bref, il est tout à fait normal d’avoir de la peine lorsqu’un être cher se détache de nous ou lorsqu’on le voit dépérir. Il ne faut cependant pas se sentir visé personnellement par ses réactions ou ses comportements. Chérissez chaque moment passé avec votre être cher dans ses derniers moments de vie, apportez-lui réconfort, confort physique, soutien et amour. Rappelez-vous aussi que l’ouïe est le dernier sens à s’éteindre, permettant ainsi à la personne malade ou en fin de vie de vous entendre lui parler et la rassurer.

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Tout savoir sur les columbariums

Lieu de repos éternel, le columbarium est un monument cinéraire, c’est-à-dire qu’il est destiné à abriter les cendres d’un défunt. Souvent érigés sous forme de collectif, les columbariums possèdent plusieurs cases où il est possible de regrouper les urnes des défunts. Au même titre d’un terrain dans un cimetière, un emplacement dans un columbarium peut contenir une, deux ou plusieurs urnes d’une même famille, si l’espace le permet. Crématorium Montréal démystifie les columbariums pour vous!

Des origines de la Grèce Antique

À l’époque de la Grèce Antique, une mort sans sépulture était inconcevable. Les rites funéraires et les cérémonies avaient pour objectif d’empêcher les âmes des défunts d’errer sans repos et de tourmenter leur famille. Or, pendant que les plus pauvres étaient souvent jetés dans les fosses communes, la crémation était un rituel réservé aux plus riches. Il était même possible de percevoir la richesse des individus à la qualité des cendres, où même les os étaient réduits en une fine poussière blanche. Les urnes étaient alors déposées dans un columbarium pour le repos éternel.

Les columbariums étaient aussi une option de choix pour les citoyens de la Rome Antique. Ceux-ci étaient construits en partie ou entièrement souterrains, sur des terres publiques situées le long des voies romaines afin de conserver les villes dites « pures ». Les columbariums, sanctifiés par les prêtres, permettaient une façon peu couteuse d’assurer la transition entre la vie et la mort, car à cette époque, la crémation était la pratique funéraire la plus fréquente. La noblesse concédait parfois le privilège de ce rituel à quelques-uns de leurs esclaves les plus estimés. Avec l’arrivée du christianisme au 11e siècle, l’inhumation se fait peu à peu imposer, ce qui réduit l’utilisation des columbariums pendant plusieurs siècles.

Parmi les plus célèbres columbariums, nous retrouvons : Pomponius Hylas, Tibérius Claudius Vitalis et celui de Vigna Codini, tous situés à Rome.

Les columbariums d’aujourd’hui

Aujourd’hui, les columbariums permettent des sépultures hors sol, qui peuvent être dans un jardin extérieur ou même à l’intérieur, dans une atmosphère à température contrôlée. Ils peuvent faire partie d’un cimetière ou être un bâtiment seul. Dérivé du latin, le terme columba signifie « niche de pigeons », d’où l’architecture spécifique de ces bâtiments. Les niches possèdent des façades sécurisées, soit transparentes, pour permettre de voir l’urne et les souvenirs déposés, soit en granit ou en bronze avec une plaque gravée au même titre qu’un monument régulier. Un contrat, valide pour un temps déterminé (souvent entre 25 et 100 ans), officialise l’achat de l’emplacement incluant l’entretien du columbarium. Les prix peuvent varier d’une place à l’autre en fonction de la durée de la concession, l’aménagement et l’entretien et l’aspect, la taille, l’accessibilité et l’emplacement de la niche.

Bref, les columbariums peuvent être privés ou publics et de différentes grosseurs. Ils possèdent des heures d’ouverture, s’ils sont intérieurs. Réels lieux de paix et de sérénité, les columbariums vous permettent d’aller visiter vos défunts dans un environnement agréable, propice au recueillement. Renseignez-vous auprès des conseillers de Crématorium Montréal pour plus d’information sur nos installations, nos columbariums et les possibilités qui s’offrent à vous ou votre proche.

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Offrir ses condoléances : à qui, comment, pourquoi?

Offrir ses condoléances à une personne endeuillée est un geste délicat. Que l’on partage ou non sa peine, nous ressentons tout de même le besoin de dire ou de faire quelque chose pour l’apaiser ou pour être poli. Il existe différentes formules toutes faites pour exprimer notre support à une personne en deuil sans commettre d’impairs, mais rien ne remplace un mot gentil exprimé avec le cœur. Si vous préférez les formules de condoléances classiques, Crématorium Montréal vous guide à travers les différentes possibilités.

Le ton conventionnel et personnel

Le ton du message de condoléances varie en fonction du type de relation entretenue avec la personne en deuil ou le défunt. De manière générale, plus l’on est près du défunt, plus le message composé sera personnel puisque nous parlerons avec notre cœur et nos propres mots. Or, si l’endeuillé n’est pas un proche, il sera préférable de rester simple et d’utiliser des formules plus conventionnelles telles que : « Toutes mes condoléances » et ses variantes :

  • Mes plus sincères condoléances ;
  • Je suis avec vous dans la douleur ;
  • Je pense à vous ;
  • Je partage votre douleur ;
  • Je partage votre peine ;
  • Je partage votre tristesse ;
  • Avec ma plus profonde sympathie ;
  • Avec toute ma sympathie ;
  • Avec nos pensées chaleureuses et nos prières ;
  • Vous êtes dans nos pensées ;
  • Je prends part à votre douleur et vous présente nos sincères condoléances à vous et à votre famille.

Il est aussi possible d’utiliser des formules moins strictes comme :

  • « C’est avec la plus profonde tristesse que je viens d’apprendre la perte qui vous touche ».
  • « J’imagine ta douleur et ta peine. Je pense très fort à toi ».
  • « Je suis bouleversé par cette disparition soudaine et je m’associe à ta douleur ».
  • « Sache que je reste près de toi et te soutiens dans cette épreuve ».

Une petite marque de soutien et d’attention apportera du réconfort et sera appréciée. Lorsque vous êtes proche de la personne en deuil, votre message de condoléances peut s’accompagner d’une offre de support et d’aide plus concrète comme : « Si je peux t’apporter du soutien ou de l’aide d’une manière ou d’une autre, n’hésite pas à me demander, je suis là! » Autrement, vous pouvez partager de beaux souvenirs ou témoigner à quel point la personne décédée vous manque.

Voici quelques formules au ton personnel qu’il est possible d’utiliser si les mots vous manquent :

  • Je pense à vous.
  • Je suis désolé pour votre perte
  • Il/elle/iel était une personne merveilleuse
  • Il /elle/iel va terriblement me manquer
  • Je suis là pour vous
  • Je t’aime (si vous êtes très proche de la personne en deuil)

Les formules à éviter

L’important, lorsqu’il est question de transmettre ses condoléances, c’est d’éviter les maladresses. Il ne faut surtout pas nier que la personne décédée est morte ou encore ne pas nier que la personne en deuil souffre émotionnellement. La perte d’un être cher est une grosse étape à traverser. De plus, éviter les formules vides de sens du type :

  •  Il/elle/iel est mieux là où il est
  • Je sais ce que vous ressentez
  • Comment ça va ? Vous tenez le coup?
  • Je ne sais pas ce que je ferai si [ma mère à moi] mourait! (à quelqu’un qui a perdu sa mère)
  • Au moins il/elle/iel n’a pas souffert.
  • Au moins vous aurez eu la chance de lui dire au revoir.
  • Ça va aller mieux bientôt
  • Je vous souhaite mes sympathies

Bref, peu importe la façon dont vous vous y prenez pour offrir vos condoléances, assurez-vous d’être bienveillant, de parler avec respect et avec votre cœur. Vous pouvez aussi témoigner votre support avec des fleurs, des petits plats préparés ou encore tout simplement en étant discret et présent pour la personne en deuil.

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Que faire avec les cendres à la suite d’une crémation

Quoi faire avec les cendres de l’être cher à la suite de la crémation de son corps ? Telle est la question tant posée aux entreprises funéraires ou l’une des plus recherchées sur le web. Crématorium Montréal vous offre quelques options, en plus de vous aiguiller sur ce qu’il faut savoir avant de choisir le dernier repos de votre défunt.

La décision du défunt avant tout

Avant même de voir les possibilités qui s’offrent à vous, il est important de préciser que le défunt, dans ses dernières volontés, a déjà peut-être lui-même choisi le sort de ses cendres. Si une telle information n’apparait pas dans la documentation, il en reviendra alors à la famille de prendre la décision.

Le choix de l’urne

Peu importe le choix fait par le défunt ou la famille, les cendres doivent être placées dans une urne pour quitter l’entreprise funéraire avec laquelle vous avez fait affaire. Bois, métal, pierre, céramique, verre, résine, sel, sable, papier ou carton recyclé, il existe bon nombre de confections et de matériaux différents pour répondre à vos besoins ou pour honorer la mémoire du défunt. Elles sont aussi disponibles en toute sorte de formes et de grandeurs. Le type d’urne ira en fonction de ce qu’on choisit de faire avec les cendres.

Ensuite, on en fait quoi ?

Il existe plusieurs façons de disposer des cendres d’un être cher disparu selon ses valeurs et convictions. Il est possible de :

Conservez les cendres chez soi
Parfois, la famille souhaite seulement conserver l’urne à la maison en toute simplicité. Dans ce cas, elle est placée dans un endroit spécial au recueillement ou simplement bien à la vue accompagnée d’une photo. Il est aussi possible d’utiliser les cendres pour la confection d’objets décoratifs comme des reliquaires. Chez Crématorium Montréal, nous offrons une panoplie de reliquaires dans notre boutique en ligne.

Inhumez les cendres dans un cimetière
Option plus classique, il est possible d’inhumer l’urne dans un lot familial ou d’acheter un terrain prévu à cet effet dans un cimetière. Ainsi la famille peut se recueillir devant un monument, au même titre qu’une inhumation traditionnelle. Il est important de savoir qu’il est interdit par la loi d’inhumer une urne ailleurs que dans un cimetière.

Exposez l’urne dans un columbarium
Le columbarium est un endroit paisible et serein où les urnes peuvent être entreposées ou exposées dans des cases vitrées. Un peu à la façon d’un cimetière, le columbarium est un lieu de recueillement intérieur ou extérieur que la famille peut visiter pour rendre visite à leur être cher disparu.

Dispersez les cendres dans la nature
Au Québec, il est possible de disperser dans la nature les cendres d’un défunt, pourvu qu’elles ne constituent pas une nuisance et que la dispersion ne soit pas faite d’une façon qui pourrait compromettre la dignité du défunt. Nul besoin de laisser aller les cendres aux quatre vents, vous pouvez disposer des cendres du défunt de façon écologique grâce aux urnes biodégradables en sel, sable, papier, etc., si celui-ci possède des valeurs environnementales.

Bref, pour toutes questions ou pour vous aider à choisir la meilleure option selon vos besoins, coutumes, valeurs et traditions, ou pour celles d’un être cher, consultez les conseillers de Crématorium Montréal. Notre équipe dévouée à l’habitude de ce genre de questions, elle saura vous guider.

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Que faire avec les biens d’un défunt ?

Le décès d’un proche est une épreuve difficile à traverser. L’entourage se retrouve souvent bien malgré elle dans la gestion des nombreuses étapes entourant le départ de leur être cher, en plus de devoir composer avec sa peine. Crématorium Montréal vous explique quoi faire avec les biens d’un défunt, pour vous aider à vous y retrouver dans cette situation peu habituelle.

La succession

Dans le jargon légal, tous les biens que possède une personne au moment de son décès s’appellent « la succession ». Celle-ci peut être acceptée ou refusée, les héritiers ont généralement un délai de six mois pour prendre leur décision. La succession doit alors faire l’objet d’une « liquidation » des biens selon la volonté du défunt ou bien selon les prescriptions de la loi, si le testament n’en fait pas mention. Habituellement, le nom du liquidateur désigné de la succession se trouve dans le testament. Il possède donc la charge d’assurer la bonne gestion des biens à liquider, dans l’intérêt des héritiers.

L’inventaire

Afin de connaitre l’ampleur de la succession, il est primordial d’en faire l’inventaire, c’est la loi. Cet inventaire permettra d’avoir un portrait réaliste et de connaitre avec exactitude les biens et les dettes de la personne décédée. L’inventaire regroupe les biens immobiliers (désignation officielle des immeubles avec leur valeur respective), voitures, collections d’objets divers, meubles anciens, etc. Il renferme aussi les comptes en banques, les actions, les obligations, les dettes et autres titres semblables avec la valeur de chacun. Il est aussi important de faire le bilan de l’actif et du passif et de publier un « avis de clôture » de l’inventaire au Registre des droits personnels et réels mobiliers (RDPRM) une fois que tout est établi.

Pour vous aider, il est recommandé de faire appel à des spécialistes pour évaluer la valeur des biens. Notez bien que sans inventaire, les héritiers sont responsables de la dette du défunt.

Quoi faire avec les biens personnels quotidiens ?

Souvent indiqués au testament ou préalablement discutés avec la famille, les biens personnels à valeur sentimentale sont souvent séparés entre les héritiers, selon les volontés du défunt. Comme les biens dont la valeur est inférieure à 100$ ne sont pas inclus dans l’inventaire, il revient à la famille de les conserver ou de s’en départir. Souvenirs, cadres et albums photos, bijoux, vêtements, papeterie, meubles, vaisselles, etc. sont tous des objets qui peuvent avoir une grande valeur sentimentale, il est donc important de respecter les désirs de la personne décédée. Si aucune mention n’est faite et que vous vous retrouvez avec une multitude de biens à vous départir, pensez à passer au suivant en faisant des dons à des organismes sans but lucratif. Ceux-ci remettront les biens tels que des vêtements ou petits appareils ménagers à des gens ou des familles dans le besoin. Voici une liste complète d’organismes qui recueillent les dons par type d’article dans le Grand Montréal.

Autrement, la Fondation la collecte, Le Support et l’Entraide diabétique du Québec, pour ne nommer que ceux-là, sont tous des organismes qui récupèrent vos articles en bon état pour financer des causes importantes au Québec! Une autre belle façon de redonner à la communauté.

Bref, il est vrai que le départ d’un être cher apporte de grands bouleversements, de la peine et une charge de travail parfois considérable pour comprendre toutes les étapes et liquider la succession. Pour plus de détails sur quoi faire après le départ d’un être cher, demandez à un conseiller de Crématorium Montréal, il saura vous diriger vers les bonnes ressources pour traverser cette épreuve plus sereinement.

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Bougie : signification et influence

Pour plusieurs, les bougies sont dotées de nombreux pouvoir. Utilisée pour des rituels, des prières, pour formuler de vœux, ou pour honorer un être cher, la bougie est inventée au milieu du 19e siècle, où elle servait à l’époque principalement de source de lumière. Selon les diverses croyances, les bougies de couleurs que nous connaissons aujourd’hui ont des significations et utilités bien précises. Crématorium Montréal vous invite dans l’univers de la bougie colorée.

De chandelle à bougie

Ancêtre de la bougie, la chandelle a été inventée 3000 ans av. J.-C. À l’origine, il s’agissait de joncs trempés dans de la graisse animale (bœuf ou mouton) ou végétale qu’on laissait durcir pendant plusieurs heures. En plus de sentir mauvais, la chandelle ne provoquait qu’une toute petite flamme jaune et beaucoup de fumée.

Les chandelles en cire d’abeille quant à elles étaient beaucoup plus couteuses et principalement utilisées par la noblesse et le clergé. Elles éclairaient mieux, fumaient moins et ne dégageaient aucune mauvaise odeur. Par la suite, au 19e siècle la chandelle fut remplacée par la bougie stéarique, celle que nous connaissons aujourd’hui.

Les bougies colorées et leur signification

Selon votre rituel ou la prière que vous faites, choisissez la couleur appropriée :

Blanche : symbole de pureté, la bougie blanche apporte la sincérité, la vérité et la paix. Cette couleur est utilisée principalement pour la purification, car elle représente la spiritualité. Elle peut aussi remplacer toutes les autres couleurs.

Jaune : le jaune représente la fortune et la réussite. La bougie jaune permet d’accroitre sa confiance en soi, son intelligence et son magnétisme personnel. Elle est utilisée généralement dans les processus de soins.

Orange : les bougies de couleurs orange stimulent l’énergie vitale. On l’utilise pour dissiper les tensions et attirer le monde à soi.

Rose : le rose représente l’amour platonique, la tendresse et l’affection. On l’utilise principalement pour tout ce qui touche aux histoires sentimentales et aux liens stables.

Rouge : symbole de passion et de sexualité, les bougies rouges provoquent le véritable amour et réveillent la libido endormie. Elles permettent aussi à la femme de renouer avec le pouvoir du féminin sacré.

Violette : symbole de protection et couleur de l’indépendance, le violet favorise les démarches et est la couleur typique du psychisme.

Bleue : les bougies bleues favorisent la créativité et la protection contre les mauvaises influences extérieures.

Noir : le noir met un frein et neutralise le mal et les mauvaises énergies. La bougie noire est souvent utilisée comme bouclier contre les influences négatives.

Or : souvent utilisées à Noël, les bougies dorées possèdent le pouvoir d’attirer les bonnes ondes et les influences cosmiques positives ! Nous les sortons dans le temps des fêtes sans même savoir qu’elles sont bénéfiques!

Bref, les bougies sont une bonne façon de s’adresser à son ange gardien ou à un être cher disparu. Il est possible de s’en servir pour méditer ou encore pour faire une demande particulière. Lors d’un rituel ou d’une prière, il est important de laisser se consumer jusqu’à la fin, que vous allumiez un lampion ou une bougie standard. La prochaine fois que vous achèterez des bougies, pensez à leur signification en plus d’embellir votre intérieur. Si vous souhaitez allumer une bougie virtuelle en l’honneur d’un être cher, contactez notre division sœur Complexe Aeterna et envoyez-leur une photo de votre proche, il sera ensuite possible d’inviter la famille et les amis à en faire de même.

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